L'instant après l'orage, il pleuvait sans cesse, je crois qu’Edwige avait parlé de nous rapprocher (?). J’en avais le cœur tout disposé à exploser ; mes tempes déjà martelaient mon émoi ; ma tête en était presque à bouillir ; et pourtant c’était bon…
J’entrevis un instant l’image, tant projetée, de ses lèvres, de mes lèvres, de notre premier baissé.
Maintenant je peux le dire, c’est une histoire enterrée. Je n’ai pas réussi à l’embrasser, elle m’a giflé avant.
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